Si pour les autres corps de métier, comme dans le domaine médical ou encore celui de la construction, la possession d’un diplôme ou d’un certificat est un plus pour gagner la confiance, sinon même incontournable pour pouvoir pratiquer, qu’en est-il pour la voyance ?
Les formations sur la voyance existant en France
Dans l’Hexagone, il faut savoir que le diplôme d’Etat de la voyance n’existe pas, contrairement en Inde par exemple, où l’astrologie peut être sanctionnée jusqu’à un doctorat. Mais cela ne veut pas dire que l’on ne peut pas apprendre ou améliorer ses connaissances et pratiques de la voyance en France. En effet, à titre d’exemple, un praticien donne des apprentissages d’une des manières de lire le tarot de Marseille, dont il a été l’initiateur. Il y en a également d’autres qui enseignent l’art divinatoire par l’intermédiaire de cours et/ou de séminaires. Si ces formations n’ont pas une « valeur académique », elles garantissent tout au moins la volonté d’un voyant de vouloir se perfectionner pour mieux pratiquer son métier.
Au-delà du diplôme
Au-delà du « simple » diplôme, certificat, ou tout autre « trophée », il faut savoir que les meilleurs voyants tirent leur capacité d’un don. Pour les reconnaître, ils peuvent notamment être capables dès le début de la consultation et ce, sans que le client n’ait donné d’informations, de ressentir les vibrations de celui-ci, et en conclure les essentiels de sa situation.
Sinon, on peut aussi se référer à la biographie du voyant. En effet, notamment pour les praticiens utilisant les cartes comme support, dont le tarot de Marseille, les différentes techniques sont souvent transmises oralement d’ascendants à descendants. Ce type de « transfert de savoir » discret peut être plus fiable, puisque tout au moins, et « le maître » et « l’apprenti »n’en font donc pas une « simple publicité ».
